Après les bidouilles matinales sur mon téléphone de commercial. et comme j’étais parti pour geeker sur du matériel après une journée et et une nuit d’intégration KSS/CSS et ZPT, je me suis penché sur le Freerunner que j’avais plantouillé il y a quelques semaines. Pour le reflasher, point de pirouettes et de bidouilles de baseband, celui là il est hackable … B.I.D.O.U.I.L.L.A.B.I.L.I.T.É !
La souplesse
On commence par se rendre sur le site d’Hackable:1 et on récupère l’image à flasher. Cette Rev5 porte le doux nom de Chuck puisque peu de choses lui sont impossibles. L’auteur du splash screen c’est bibi 😉
On appuie simultanément sur les boutons power et aux pour arriver au boot menu, avec aux on sélectionne Set console to USB, et hop on lance le flash , il existe sur mac un outil graphique et libre qui vous évitera les galères d’interfaces réseau avec cet os quand on flashouille avec la méthode Linux sur un Mac…
ce qui nous amène tout droit direct à la … détente.
La détente
Hackable:1 est une distribution embarquée basée sur Debian GNU/Linux, du coup c’est assez royal niveau packages et ça permet de faire des choses intéressantes tout de suite… sans avoir à cracker quoi que ce soit, tout en finesse, on se concentre uniquement sur les objectifs et plus trop la manière d’y arriver… ça coule de source. Hackable:1 utilise Gnome Mobile et propose un environnement relativement bien utilisable.
Et la convivialité
Bon ok, ça reste pour les développeurs, c’est assez expérimental, le device lui même n’est plus tout récent et manque cruellement d’un chip 3G, mais le Freerunner n’en reste pas moins une plate-forme de développement idéale et Hackable:1 est destinée à être utilisée sur d’autres matériels embarqués … portabilité …;
Cette semaine à la Cantine, c’est la semaine anniversaire et il va se passer des choses. En cette occasion, Deubeuliou, release manager d’Hackable:1 y donne rendez-vous pour un HOUM : Hackable:1 et Openmoko User Meeting le vendredi 29 Janvier, de 19h à 22h .