Hier nous apprenions le décès de Sid, Cédric Blancher. Talentueux hacker, figure incontournable de la sécurité informatique, blogueur non moins talentueux, et avant tout, un personnage attachant. Cédric a trouvé la mort à 37 ans… un saut en parachute qui a mal tourné.
La pudeur aurait voulu que sa mémoire soit saluée dignement, pour sa famille, pour ses proches, pour toutes les personnes qui l’ont croisé et apprécié son accessibilité, son ouverture, ses contributions aux communautés de hackers. Mais un journal en a décidé autrement. Un journaliste a jugé intelligent d’aller interviewer le président de la ligue de Picardie de parachutisme, ce dernier tient des propos qui peuvent nous paraitre, à nous qui connaissions Cédric, parfaitement déplacés dans ce contexte douloureux.
Se servir de cette tragédie pour servir un tel article est indigne de la part d’un média. Sans polémique aucune, je m’en tiendrai à ces quelques mots, pour ne pas ajouter à la douleur, la colère.
A bientôt Sid.
Les médisants peuvent faire ce qu’ils veulent. Cela n’entachera en rien la mémoire de ce grand bienfaiteur.
Les informations de cet article de journal sont erronées.
Le mieux est sans doute de supprimer le lien de ton billet vers cet article. Autant ne pas le rendre visible aux personnes qui parcourent les différents hommages à Cédric sur Internet.
PS: impossible d’envoyer un mail at reflets.info. J’ai des « Relay access denied » depuis mon serveur perso, smtp.free.fr et gmail…
La mise en sur-vitesse de la voile est une pratique normale du posé en parachute à partir d’un certain niveau.
Déclencher cette manœuvre trop bas est une erreur humaine trop fréquente, ce qui en fait la première cause de mortalité des parachutistes entre 300 et 800 sauts.