10 réponses sur “Alain Finkielkraut pète une pile”

  3. J’ai pas tout à fait compris le rapport avec internet sur ce coup-là, mais venant de Finkielkraut, ce n’est pas vraiment étonnant quand on connaît ses déclarations précédentes.

    La populace qui cherche à se venger de l’élite ? lol. Que dire de l’élite qui ne digère pas que les simples citoyens puissent aujourd’hui s’exprimer comme ils le veulent avec internet ?

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  7. Qu’ils aillent se faire mettre avec leur ‘élite’ de mes deux! Il m’est difficile de nier en faire partie (de l’ééééélite de la naaaaation), mais cela commence à faire!

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  8. Ping : Le Net est la plus grande saloperie qu’aient jamais inventée les hommes ! | ☠ Bluetouff's blog ☠

  9. J’arrive un peu après mais j’avoue que je n’avais pas vu la prise de parole, pardon, le délire de Finkielkraut et en l’écoutant je me dis que, wahou, il devient de plus en plus grave à chaque intervention.
    On savait déjà qu’il avait une dent contre la sphère internet mais pour le coup ça devient un complot de l’ordre mondial qui ourdit dans les tréfonds (poubelle? comme il aime dire) du web… c’est consternant de voir un « philosophe » parler d’amalgame et, d’un coup, en faire tout autant en classant les internautes de lyncheurs…

    J’ai pour ma part fait un billet sur Polanski en disant juste que force devait rester à la loi, seule garante de l’équilibre et de la survie de notre société, ni plus, ni moins. Je trouve juste un peu facile la façon dont à Finkielkraut en rejetant la « faute » sur finalement, la victime de son acte, en disant qu’elle était de petite vertue. Je trouve ensuite déplorable de nous faire un rappel sur la vie de Polanski, de glisser sur M. Jackson et d’emballer le tout en disant que c’est l’Amérique qui est la grande méchante.
    Faudra juste m’expliquer pourquoi il aurait fallu que le mandat d’arrêt international ne s’applique pas à R. Polanski. Parce que le juge n’est pas impartial? Même si c’est le cas, ça fait un peu court comme argument… Je souhaiterais juste que Polanski réponde de ses actes, car quoiqu’on en dise, on reste responsable de ses actes, et, concernant Finkielkraut, de ses mots (et de ses raccourcis).

    Heureusement que J. Séguela est là pour remonter le niveau :o)

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